

Hand held computer keyboard


Une animation pour illustrer le titre « Good morning everyone » sur l’EP La poupoune de ses morts de Les amis nos morts.
Développé au sein de la joyeuse équipe du studio Cubozoa et en collaboration avec le laboratoire Irfu, le Télescope Harmonique est un dispositif ludique pour découvrir la recherche spatiale des exoplanètes au travers d’une interprétation musical.
Il s’accompagne d’une version en ligne.
Plus d’infos sur le site du Téléscope Harmonique.
Invité par Cécile Ndiaye et son Studio Wude dans le cadre d’une résidence Creasen de l’Eunic, j’ai passé une semaine à animer une formation sur l’usage d’inkscape pour la découpe laser, tout en menant des expérimentations de motifs et de tissages de cuir à partir de ces techniques.
Visible tout l’été 2019 sur le site de Transfert à Rezé (44), le cabinet de curiosités rétro-futuriste comprend une dizaine d’installations visibles à travers les vitres d’un bus à l’anglaise.
Extrait de la présentation de l’exposition sur le site de la Labomédia :
« En 2019, le Bus jaune a franchi une porte spatio-temporelle pour atterrir à Transfert. Dans cette autre futur dimensionnel, des futurotopies post-techno-capitaliste ont transformé radicalement notre rapport aux objets fabriqués et particulièrement à ce que l’on appelle le « numérique ».
La logique extractiviste, concurrentielle et inégalitaire du XXIème siècle a été abandonnée au profit d’une relation avec les autres êtres organiques et inorganiques de la planète basée sur la symbiose, la compréhension et l’empathie inter-espèce. Ainsi, on n’y trouve plus d’appareils fabriqués, les besoins du quotidien et les interactions avec les autres passent par des processus minéralo-télépatho-biologiques issus d’une entente réciproque entre minerais, bactéries, mycéliums, végétaux, insectes et animaux (dont les humains).
Pour la mémoire de l’humanité, le Bus jaune retrace de manière malicieuse, sous la forme d’un cabinet de curiosités, cet historique de nos interactions avec des technologies disparues. »
Initié par l’association PiNG, en collaboration avec l’association orléanaise la Labomédia.
Voir la version en ligne de l’application.
« Wikifémia, projet de Roberte la Rousse, regroupe une série de performances et d’installations basées sur des biographies de femmes remarquables telles qu’elles figurent dans Wikipédia. «
Une application web de visualisation de donnée pour le collectif Roberte la Rousse. Manipulée en direct lors des performance du collectif et exposée dans le centre documentation de la Gaîté Lyrique pendant l’exposition « Computer Grrrls« , elle permet de naviguer entres les pages Wikipédia de femmes remarquables concernant un sujet ou une thématique choisie.
Sur l’invitation de l’association la Labomédia, j’ai eu la chance de pouvoir montrer l’harmonographe, et le synthétiseur à cycloide au public du Printemps de Bourges lors de l’exposition « Futurs Harmonieux » au Carré d’Auron.
Plus d’infos sur la page de l’exposition.
Invité par l’équipe des Chiens de la Classe du Chateau 404 à Metz pour exposer lors de la soirée de lancement de leur deuxième saison, j’y ai amené mes contemplations harmonographiques (l’harmonographes, le mobile d’harmonographes, le synthétiseur harmonographique) ainsi qu’une version à tube cathodique de Near Miss Harmony, judicieusement placée dans une petite cabane en bois bruitiste et conviviale.
Quelques jours en résidence à la Baleine à Quimper en compagnie des Portes Logiques et de l’artiste Anaïs Braillat, pour hacker et prendre en main une machine à tricoter électronique.
Un carnet de voyage interactif avec un fond de carte animé pour les tournées en voilier de la compagnie Organic Ochestra.
Ces deux semaines d’atelier se sont déroulées à Ker Thiossane à Dakar, et étaient animées par Daniel Sciboz, Fabien Cornu et moi-même. Elles rassemblaient des étudiants en graphisme, des artisans et des couturières d’un centre de réinsertion sociale voisin de Ker Thiossane. L’objectif était de prototyper des objets qui seraient ensuite fabriqués par les participant·e·s de l’atelier afin d’achalander la boutique du festival Afropixel #6 qui allait avoir lieu le mois suivant.
Dans la continuité des projets « Dakar Typo » (2012) et « Design génératif pour le travail du cuir » (2017), il s’agissait de développer un travail typographique « non-aligné », détournant les codes et l’esthétique du style international par des effets empruntés à la peinture ornementale sénégalaise qui décore notamment les transports en communs de Dakar.
Dans ce cadre, j’ai développé une application web permettant d’appliquer certains de ces effets à de la typographie numérique, qui a été utilisée par les participants pour générer les décorations des différents objets réalisés.
Entre novembre 2017 et février 2018, j’ai eu la chance de passer quatre semaines en résidence à l’Université du Havre dans le cadre de l’installation d’un pendule de Foucault dans le hall de la bibliothèque universitaire.
Sur le même principe que Near Miss Harmony, j’ai développé un synthétiseur audiovisuelle inspiré de l’harmonographe, une machine à dessiner avec des pendules, dont j’ai également fabriqué une version physique.
L’exposition de restitution « Contemplations Harmonographiques » présentait également des impressions d’harmonographe en trois dimensions ainsi que des posters d’harmonographes simulés en différents formats.
Invité par Ker Thiossane et l’institut français de Dakar pour travailler sur le projet de l’artiste Cécile Ndiaye « Cartographie », j’ai pu passer une semaine à développer une application processing permettant de générer des motifs de découpe sur des grandes pièces de cuir, à partir de données ayant trait à la consommation de ressources naturelles sur le territoire du Sénégal.
Deux semaines d’ateliers autour du travail du cuir, de la fabrication numérique et du design génératif.
Le déroulé et le contenu détaillé de l’atelier ainsi que les productions sont détaillées sur le wiki de Defko Ak Niep, le fablab de Ker Thiossane.